Comme chantait Léo Ferré : « Avec le temps, va, tout s’en va ». Et c’est vrai. L’on en arrive même à faire des choses que l’on n’aurait pas cru possible. Il y a peu, j’ai fait avec mon épouse un voyage à La Rochelle. Ce qui peut sembler assez quelconque, mais jusque-là, nous étions plutôt des adeptes du voyage en solo. Et je dois dire que ces deux façons de voyager pourraient difficilement trouver un terrain d’entente. Il faut comprendre que pendant des années, nous avons été défiants vis-à-vis du voyage de groupe. Le seul fait de devoir respecter un programme préparée par quelqu’un d’autre nous paraissait tout à fait surréaliste. Seulement, quand nous avons remarqué le planning de ce voyage de groupe, ça nous a aussitôt donné envie. Car les désavantages de ces voyages était contrebalancés par un avantage colossal : ne plus perdre son temps à étudier pour trouver toute la partie logistique. Et c’est ce qui nous a faits tenter l’aventure. De manière générale, à partir du moment où on voyage en solitaire, on est sans cesse confronté au stress. On se retrouve en terre inconnue. Il y a bien sûr d’excellents moments, mais même alors, le stress persiste. On pense toujours au fait qu’il va falloir être au taquet pour le lendemain. Bien évidemment, ça forme la jeunesse. On se force à vaincre son stress, à se prendre en charge. Voyager en solo est particulièrement formateurs. Toutefois, au bout d’un moment, on est suffisamment formés. Après s’être si bien formés, on a envie de sortir de l’école pour profiter, les doigts de pied en éventail. Bref, ma dulcinée et moi avons vieilli. Si vous avez envie d’en savoir plus sur ce voyage, suivez le lien.