McDonnell Douglas fait évoluer son DC-10 dans une version remotorisée et modifiée. L’avion a ensuite fait un atterrissage d’urgence avec son réacteur en feu faisant passer les passagers très près de la catastrophe. Le Mig 29 est un avion extrêmement agile, spécialement avec son système de « thrust vectoring » qui permet de modifier la direction des tuyères et d’apporter une manœuvrabilité supplémentaire à l’avion de chasse. En descendant, l’avion accélère à nouveau : la portance croît à nouveau, pour dépasser le poids : l’avion remonte. La force portance s’opposant au poids de l’avion, plus la différence de vitesse est élevée, plus cette force est importante. Parallèlement, le prix du baril de pétrole est multiplié par 10 en dollars courants entre 1971 et 1981, mettant un coup d’arrêt aux commandes de DC-10 et de L-1011. Si votre enfant est susceptible d’être affecté par une baisse de concentration en oxygène dans l’air, vous devez obtenir un avis médical avant de prendre l’avion. Pratt & Whitney. Cet avion porte les couleurs du seul et unique D.27 (D.530) français piloté par Marcel Doret. Un avion de chasse (aussi appelé chasseur ou avion de suprématie aérienne) est un avion militaire conçu pour intercepter les avions adverses et ainsi assurer la maîtrise du ciel. La force militaire de l’Iran ne vise qu’à dissuader ses ennemis. Il aura été produit à 292 exemplaires, dont 223 pour le compte de l’US Air Force. Commercial Aircraft Corporation of China (COMAC), basée à Shanghaï, a été fondée le 11 mai 2008 pour développer, produire et commercialiser un avion de ligne moyen-courrier, le Comac C919. Il s’en sortira indemme mais son avion est inutilisable. Pour autant, désigner des « fusibles » sans investiguer sur la totalité des causes du crash est non seulement injuste, mais ne fera pas avancer la sécurité aérienne. Les munitions des avions et hélicoptères sont aussi sources de pollution lors de leur usage, des exercices ou en fin de vie si elles ne sont pas démantelées dans les meilleures conditions. De nombreux pays on crée des patrouilles de voltige, elles participent à des spectacles où dans des fêtes nationales. Quand jai vu son niveau, je me suis dit que si javais une crise cardiaque, il serait incapable de poser lavion ». Pour se protéger, ils installent une mitrailleuse à côté du siège arrière, celui de l’observateur. C’est le 17 décembre 1903 qu’Orville et Wilbur Wright effectuent une série de quatre vols sur une plage de Caroline du Nord. Les ambitions initiales étaient de constituer une gamme complète d’avions avec au moins 30 % de parts du marché mondial. Est-ce que vraiment on ne comprend pas exactement comment les avions volent ? Les deux avions doivent se rejoindre à un endroit précis, ensuite, ils doivent voler exactement à la même vitesse. Odile Sauges, députée socialiste du Puy-de-Dôme, se bat depuis des années pour le renforcement de la sécurité des passagers aériens. À la différence du domaine militaire, ce type d’avion restera marginal pour le transport de passagers. Les croisières de chasse s’enchainent. ]. C’est ainsi qu’Ader a appelé l’appareil baptisé Éole, avec lequel il décolle le 9 octobre 1890 puis rase le sol sur 50 mètres à 20 cm au-dessus de la piste. Pour plus d’informations, allez sur le site de ce de baptême en avion de chasse et trouvez toutes les informations.
Toute une partie de l’économie francilienne est soutenue par les besoins des Franciliens ou des personnes de passage. Ainsi, le commerce de détail, qui a vocation à couvrir principalement les besoins courants des ménages, relève par excellence de la sphère présentielle, même si certains équipements emblématiques (grands magasins, commerces de luxe), essentiellement parisiens, participent à l’attractivité de la région. Cette vocation explique une meilleure répartition de ces activités sur le territoire par rapport aux activités métropolitaines davantage polarisées. Le périmètre sectoriel du commerce de détail a été élargi à quelques autres activités relevant de la proximité, comme l’artisanat commercial (boulangeries, traiteurs), les services à la personne (coiffure, cordonnerie, etc.), ou les agences immobilières et de voyage. Le total représente 400 00050 emplois environ en 2012. La moitié des personnes travaille dans le commerce dit spécialisé (équipement de la maison, sport, culture, équipement de la personne), dans des entreprises relevant de plus en plus du commerce organisé (succursalistes ou franchisés) ; un quart des emplois appartient au secteur alimentaire, avec une répartition assez équilibrée entre la grande distribution (hypermarchés, supermarchés, etc.) et le petit commerce dit de bouche ; le reste des emplois relève des services à la personne, des agences et, dans une moindre mesure, des marchés et de la vente à distance. L’e-commerce, bien que répertorié dans la Nomenclature des activités française (NAF rév. 2, pour la révision 2 de 2008), n’apparaît pas dans les statistiques. Avec la stagnation des revenus et de la consommation, le commerce n’est plus créateur d’emplois : entre 2007 et 2012, il a perdu un peu plus de 20 000 emplois, soit 5 % du total. La concurrence entre groupes et enseignes, la dématérialisation d’une partie des achats, la volatilité des goûts des consommateurs, engendrent des mouvements disparates selon les segments du commerce. C’est dans le secteur alimentaire (grande distribution et petits commerces) et dans l’habillement que les pertes sont proportionnellement les plus importantes. L’hébergement-restauration, porté par la consommation des Franciliens, mais également des touristes, est un secteur parmi les plus créateurs d’emplois dans les années 2000. Entre 2007 et 2012, il a progressé de 22 700 emplois, les gains provenant en quasi-totalité de la restauration et un peu plus dans la restauration traditionnelle plutôt que rapide.
Il y a peu, j’ai accompli une rando en jetski à Monaco. Et alors que je fonçais sur les vagues, le problème du changement climatique s’est rappelé à mon bon souvenir : c’est qu’il était sacrément perceptible dans la chaleur de cette saison ! On nous promet déjà un été incroyablement chaud ! Très logiquement, je souhaiterais donc reparler ici de la décision de Donald Trump visant l’accord de Paris.
Le magnat de l’immobilier a fait durer le suspense, mais a fini par rendre sa décision. Cette dernière, qui devait être annoncée le mois dernier, avait été reportée après le G7. Trump a d’ailleurs dû s’arracher ses cheveux orange sur cette question. Parmi ceux qui espéraient le voir soutenir cet accord, se trouvait en effet le conseiller économique Gary Cohn. Parmi les climatosceptiques suppliant le président de sortir de cet accord, on retrouvait Steve Bannon, qui perçoit les accords multilatéraux comme une atteinte à la souveraineté nationale. Au vu de ce clivage, l’on pouvait penser que la balance pouvait encore pencher du bon côté.
Mais finalement, il semblerait que le milliardaire n’était pas en mesure de prendre une autre direction que celle-là. Depuis qu’il occupe le bureau ovale, Trump signale en effet sa volonté de développer les énergies fossiles, pour défendre les emplois américains. Et au cours de sa campagne, il avait dénoncé cet accord comme une tromperie des Chinois pour nuire aux Etats-Unis.
Bien sûr, cette décision est un énorme camouflet : l’Amérique est un des principaux pays de cet accord. Pour autant, il n’y a pas que du mauvais dans cette situation. Il me semble utile de rappeler que les Etats-Unis comptent de nombreux pays en leur sein, dont certains sont de fervents partisans de cet accord. Bill de Blasio s’est d’ores et déjà engagé à ce que New York respecte cet accord, et il est probable que des états comme la Californie ne feront pas non plus machine arrière…
Sinon, cette excursion en jetski à Monaco m’a bien plu. Vous pouvez jeter un oeil au site auquel j’ai fait appel, si vous êtes comme moi (et que bronzer sur une plage vous ennuie profondément)… Pour en savoir davantage, je vous recommande la lecture du site sur ce de location de jetski à Monaco qui est très bien fait sur ce sujet.
En ce qui concerne le modèle économique des plateformes, la confiance est la clé du succès. D’après une étude menée par Blablacar et la NYU Stern, nous faisons presque autant confiance à un utilisateur de plateforme qu’à un ami. Une telle relation est assez paradoxale car les processus algorithmiques sousjacents échappent à la compréhension de la plupart des individus qui ne maîtrisent ni la trajectoire des données produites ou utilisées, ni les logiques de calcul de ces dispositifs. Dans ce contexte, les notions clés de liberté et de responsabilité se trouvent interrogées. Chercheuse à l’université de Namur, Antoinette Rouvroy insiste sur la différence entre les machines classiques et les machines algorithmiques5 : programmées pour orienter nos actions en nous donnant des informations et recommandations, ces dernières peuvent aller jusqu’à se substituer à la décision humaine. L’avènement des réseaux sociaux comme canal d’information est un autre exemple des risques que recèlent les algorithmes non maîtrisés sur l’accès à l’information. Dominique Cardon, professeur à Sciences Po, et Serge Abiteboul, directeur de recherche à Inria, alertent sur cette évolution, moins « neutre » que l’algorithme historique de classement de Google, plutôt transparent et « méritocratique ». En analysant nos préférences, ces algorithmes de filtrage et le choix du réseau social par les utilisateurs renforcent les bulles informationnelles et la viralité de certaines « fake news ». Au cours du séminaire, sur des thèmes divers, plusieurs intervenants ont évoqué cette absence de contrôle sur les algorithmes, mais aussi plus largement les questions de propriété des données, de transparence et de cyber-sécurité. Quelles limites faut-il donner aux usages, quelles fonctions voulons-nous attribuer ou déléguer à ces machines algorithmiques, quel degré d’opacité sommes-nous prêts à accepter ? Toutes ces questions qui tournent autour de la responsabilité sont encore largement en friche.
Ceux qui suivent l’actualité le savent : le libre marché n’a jamais plu aux gouvernants ni aux intellectuels. Les uns et les autres ne manquent jamais une occasion de le condamner : à les entendre, le libre marché léserait en effet les ouvriers. Ce raisonnement a priori altruiste suffit à justifier à leur exécration naturelle du libre marché, qui a par ailleurs tendance à ne pas être sous leur contrôle. D’après eux, les pays pauvres seraient terrassés par l’inhumanité du libre marché et la vie de leurs habitants s’en retrouverait encore plus dégradée. Bien loin de moi l’idée de défendre ce point de vue, comme vous vous en doutez certainement. En fait, je vais même m’employer à la détruire. A l’occasion d’un colloque à Madrid il y a quelques jours, un participant s’est en effet évertué à démonter avec succès ce raisonnement bancal. Et comme il l’a clairement prouvé, cette affirmation est à des années-lumière de la réalité. Les citoyens des pays pauvres pâtissent en effet essentiellement d’un manque total de libre marché. Les plus défavorisés habitent en effet en majorité dans des régions où la possibilité de vivre comme ils le souhaitent leur est déniée par les autorités en place. Empêcher le libre marché est une façon d’empêcher la liberté. Et c’est bien pour cette raison que le libre marché est sauvagement réprimé dans des dictatures comme celle du Congo. Il est naturel qu’un gouvernement qui ne permet pas à son peuple de jouir de la possibilité de voter n’octroie pas à celui-ci la possibilité d’effectuer ses choix dans le libre marché ! Au cours de ce colloque, l’intervenant a même décidé d’aller plus loin dans sa réflexion, en signalant que le libre marché est au contraire clairement avantageux pour les populations défavorisées. Au sein du libre marché, la plupart des populations pauvres dans le monde vouent en effet aujourd’hui un budget plus faible à la nourriture qu’auparavant. Pour les pays pauvres ayant fait le choix du libre marché et permettant l’importation de produits, les citoyens profitent désormais non seulement d’une plus grande variété de produits, mais aussi à des prix bien plus abordables. Et ça, ce n’est pas vraiment ce qu’on appelle une façon de léser… Pour en savoir plus, je vous recommande la lecture du site internet sur ce séminaire en Espagne qui est très bien fait sur ce thème.
Les critères d’accès au logement social donnent des résultats sous-optimaux. Le taux de rotation des locataires dans le secteur du logement social est faible, entre 10 et 15 ans, contre environ 3 ans dans le secteur locatif privé. La situation financière des locataires de logements sociaux n’est pas réévaluée périodiquement pour vérifier s’ils ont toujours droit à de tels logements à plus faible coût (Cour des Comptes, 2017f). Comme 70 % de la population a le droit de demander un logement social, les listes d’attente sont longues (1,7 million de personnes en 2014) et seules certaines situations particulières entraînent un traitement prioritaire du dossier (Agence nationale pour l’information sur le logement). Par conséquent, l’offre de logement reste bloquée entre les mains des occupants en place et l’accès n’est pas toujours possible pour les personnes qui en ont le plus besoin. Les étudiants peuvent demander des aides au logement indépendamment des revenus de leurs parents, tandis qu’aucune préférence n’est accordée aux familles à faibles revenus avec des enfants en bas âge. Cela est particulièrement préoccupant, car les conditions de logement des enfants en bas âge peuvent avoir des incidences à long terme sur leur vie. L’insuffisance de l’offre est un défi pour la politique de logement. Le marché immobilier n’a pas connu de correction soudaine ou importante des prix après la crise de 2008. Pour les aspirants propriétaires, l’accès au logement est de plus en plus difficile, malgré une forte croissance du crédit pour l’achat de logements et une reprise du secteur de la construction, étant donné que les prix restent élevés et surévalués (Philiponnet et Turrini, 2017). En outre, les conditions d’accès aux régimes de crédit d’impôt destinés à faciliter l’accession à la propriété ne sont pas toujours bien définies, et aucune véritable analyse de leur efficacité n’a été réalisée. Les recours administratifs et les règlements en matière de construction, ainsi que le fait que des propriétaires ne développent pas des terrains constructibles au profit du logement, sont des obstacles à l’augmentation de l’offre de logement, notamment dans les zones qui connaissent des tensions sur ce plan. Enfin, la relation propriétaire-locataire est déséquilibrée, les locataires bénéficiant de davantage de protection juridique. Cela entraîne des taux d’inoccupation élevés des logements privés (INSEE, 2016a). Des modifications des différents éléments de la politique de logement pourraient contribuer à améliorer son efficience. Réduire les dépenses en aides au logement et réaffecter ces ressources à l’offre de logement pourrait améliorer la situation en matière de logement. Cela concerne en particulier les logements sociaux neufs dans les zones ayant une forte demande de logement et une offre insuffisante. En outre, des évaluations régulières et plus globales de la situation économique des locataires de logements sociaux, afin de mieux faire correspondre le besoin de logement et l’offre existante, pourraient améliorer l’accès au logement à moindre coût pour les personnes les plus défavorisées.
Plus tôt cette semaine, la déclaration de confiance d’Edelman, une fois par an, impliquait que la confiance s’effondrait en Amérique. Dans une analyse de 33 000 hommes ou femmes dans plus de 28 pays, seulement un tiers des Américains ont répondu qu’ils faisaient confiance au gouvernement, une baisse de 14% par rapport à l’année dernière. Moins de 50% d’entre nous ont confiance dans le journal et la télévision. Peut-être même notre confiance dans les affaires, qui depuis des années est restée forte, a été ébranlée cette année, perdant 10 points; seulement 48 pour cent des répondants ont confiance dans les entreprises pour «faire ce qui est juste». Au cours des 18 années où Edelman a mené cette étude, il n’a jamais noté ce genre de chutes spectaculaires à travers un pays solo. Néanmoins, tout simplement parce que les Américains ont confiance dans presque chaque établissement dissipe, un seul marché semble être isolé: la technologie. C’est vrai, les Américains croient néanmoins aux organisations technologiques. Précisément, 75% des personnes interrogées ont déclaré qu’elles dépendaient de l’entreprise technologique pour «faire ce qui est juste», une proportion qui est restée pratiquement la même pendant 5 ans. Comme indiqué par l’enquête, la technologie est le secteur le plus investi en Amérique. C’est imprévisible après une année marquée par des escroqueries et des inquiétudes sur l’accumulation de la domination des sociétés technologiques. La question de savoir si les organisations technologiques pourraient maintenir leur situation privilégiée s’est répercutée sur le Forum économique mondial, à Davos, en Suisse, ce mois-ci. Lors d’une présentation sur un groupe intitulé « In Tech We Trust », la directrice financière d’Alphabet, Ruth Porat, a présenté un principe. La confiance dans ces entreprises est forte, a-t-elle déclaré, « parce que la technologie permet de résoudre plusieurs des plus grands défis du monde. » Elle a raison, évidemment. C’est la validation que le domaine de la technologie utilise souvent pour son existence et son impact démesuré. Le fait prouvé que la technologie est protégée contre l’impression largement utilisée tout simplement parce que ses améliorations sont si étonnantes a été le sentiment prédominant des entreprises, car avant Google était une étincelle dans les yeux de ses fondateurs. Dans l’intervalle, les technologies ont transformé le monde de manière complexe. Les organisations technologiques, comme Google, Facebook et Twitter, ont considérablement modifié la méthode que nous communiquons, ce qui à son tour a modifié la voix de chacun. En permettant à tout le monde un support de microphone de taille similaire, les outils technologiques ont comprimé l’industrie du jeu et permis à quelqu’un de communiquer n’importe quoi. Alors que cela a eu de nombreux résultats positifs, cette approche de la création sans friction a également eu des résultats plus sombres. Offrir du poids à toutes les croyances qui peuvent jouer les règles du système a radicalement changé notre foi dans les établissements standard, a aidé à l’augmentation des régimes autoritaires, et a facilité l’expansion de la désinformation. Tout cela est révélé dans la foi en chute libre dans d’autres types d’établissements dans les fichiers de données d’Edelman. Retrouvez toutes les infos sur l’Agence SEO Lille.
C’est un hommage déchirant. Ce mercredi 17 janvier, quelques jours seulement après la mort de Dolores O’Riordan, son compagnon a pris la parole sur le compte Instagram et sur le site officiel de son groupe, « D.A.R.K ». Inconsolable, le musicien et producteur Olé Koretsky débute son hommage en écrivant ces quelques mots: « Mon amie, ma partenaire et l’amour de ma vie s’en est allée. J’ai le cœur brisé et c’est irréparable. » Il poursuit son hommage dans un élan d’amour poignant en saluant la carrière et le travail de sa bien-aimée: « Dolores est belle. Son art est beau. Sa famille est belle. » Olé Koretsky se dit « perdu »: « Elle me manque tellement. Je vais continuer à déambuler sur cette planète pendant un moment encore, en sachant parfaitement qu’il n’y a maintenant plus de réelle place pour moi ici », conclut-il. Séparée de Don Burton, le manager du groupe Duran Duran avec lequel elle avait eu trois enfants, Dolores O’Riordan semblait avoir retrouvé l’amour dans les bras du musicien du groupe « D.A.R.K ». Ils étaient ensemble à la ville comme à la scène, Olé Koretsky collaborant souvent avec sa compagne. Le groupe avait notamment été choisi par Dolores O’Riordan pour faire la première partie des Cranberries à Paris en mai dernier.
Mardi dernier, j’ai pu réaliser une expérience exceptionnelle : participer à un stage de pilotage d’avion. Il ne s’agissait évidemment pas d’un A330 (chaque chose en son temps) mais d’un modèle plus adapté à mon total manque d’expérience : un Piper. J’ai effectué ce baptême original au Castellet. La question qui vient immédiatement en tête est : est-ce que c’est difficile ? La réponse est clairement non. A ma grande surprise, piloter un avion de petite taille est accessible à tout un chacun. J’ai d’ailleurs appris lors de cette expérience qu’on peut s’essayer au pilotage avant même d’être en âge pour le permis de conduire ! Les deux parties un peu délicates (bon, d’accord : franchement terrifiantes) sont évidemment le décollage et l’atterrissage. Mais une fois en vol, et tant qu’il n’est pas question de redescendre vers le tarmac, ce n’est que du bonheur. Et même le décollage n’est pas aussi redoutable qu’on peut le croire, en fait : comparativement à un décollage de Boeing, c’est même plus agréable. Le fait d’avoir le contrôle y est pour quelque chose ; mais le Piper est aussi et surtout à l’A330 ce que la libellule est au ptérodactyle : un peu plus douce lorsqu’elle s’envole. Une fois en plein ciel, c’est le bonheur à l’état pur : la verrière panoramique permet d’avoir une vue imprenable sur le sol. Et pourtant, ce n’est pas ce qu’il y a de mieux. En ce qui me concerne, ce qu’il y a de plus fabuleux, c’est le pilotage lui-même. Manier les commandes s’est en effet révélé très agréable. Joystick en main, on peut ressentir le souffle du vent qui dévie un peu la trajectoire de l’appareil. La sensation est si présente qu’on a même presque l’impression de repousser le vent lorsque l’on fait pivoter l’appareil ! C’est quelque chose d’intense à ressentir. Plus exténuant que ce à quoi je m’étais attendu, en fait. Car il faut quand même garder les mains pressées sur le joystick : même si ce dernier est maniable, il administre aussi un retour de force qui oblige à tendre les muscles. Bref, un beau moment à vivre que celui-là. Que vous soyez aventureux ou non, c’est une expérience monumentale que je vous suggère d’essayer au moins une fois dans votre vie. Pour ceux que ça intéresse, je vous mets le lien vers le site qui m’a servi pour mon baptême. Retrouvez plus de renseignements sur l’organisateur de cette expérience d’initiation au pilotage en avion au Castellet.
Des champs de lave à perte de vue, recouverts de neige, des plages de sable noir, des chutes d’eau gelée, comme si le temps s’était arrêté… Quoi de plus photogénique que l’hiver islandais ? Le spécialiste du voyage polaire, Grand Nord Grand Large, propose une « chasse » aux clichés parfaits encadrée par Jean-Marc Blache, photographe professionnel. Un stage photo qui vous entraînera de Fjadrargljufur, un canyon digne du Seigneur des anneaux à la lagune glaciaire de Jökulsarlon, sur laquelle viennent s’échouer les icebergs, jusqu’aux impressionnantes chutes de Gullfoss. Des paysages à cadrer, à mettre en lumière et à sublimer, grâce aux explications en temps réel du photographe. Le soir, après un dîner typique et un traitement des photos sur un logiciel adapté, on ressort dans la nuit noire, appareil autour du cou, pour immortaliser les aurores boréales. Au retour, pour une fois, la soirée diapo devrait être bluffante. Vladimir Poutine, natif de la ville, n’y est sûrement pour rien, mais il y a juste un an, Saint-Pétersbourg était élevée, par les World Travel Awards – l’équivalent des Oscars pour le tourisme – au rang de « meilleure destination culturelle ». Cette cité, fondée en 1703 par Pierre le Grand, à l’embouchure de la Neva, est un joyau architectural baroque et coloré, en toutes saisons, y compris l’hiver quand le fleuve est pris par les glaces et que la neige recouvre les jardins. Marco Vasco, spécialiste du voyage sur mesure, propose un séjour de cinq jours et quatre nuits à la découverte du patrimoine culturel de la ville, comprenant une visite guidée de l’Ermitage, ce splendide palais construit sous Catherine II au XVIIIe siècle, pour admirer les œuvres des plus grands artistes européens comme Rubens et Rembrandt, de l’école flamande, de Vinci et de Véronèse, pour l’Italie. Et s’il fait vraiment froid, n’hésitez pas à vous engouffrer dans le métro : même s’il est moins sophistiqué que celui de Moscou, celui de Saint-Pétersbourg a également quelques stations à ne pas manquer pour leur décor et leur élégance. De la Grèce antique, avec la station Sportivnaïa, à la période soviétique, avec la station Plochtchad Vosstania, vous voyagerez dans le temps et dans l’art !